Société
Pas d'homo à l'échafaud !
Le 19 juillet 2005, deux adolescents ont été pendus sur une place publique d'Edalat dans la ville de Mashhad au nord-est de l'Iran.
Les motifs ne sont pas clairs, certaines versions font référence au viol d'un troisième garçon âgé de 13 ans, d'autres parlent de condamnation pour "sodomie".
Retenons que depuis 1979 plus de 4000 gays et lesbiennes ont été condamnés en Iran et qu'actuellement 2 homos d'une vingtaine d'années sont semble t-il en train de subir le même sort.
Act Up-Paris a ciblé pour la première fois ce pays dans le cadre d'une action express, une banderole avec le mot "homophobe" a été déployée devant l'ambassade d'Iran rue d'Iéna à Paris dans le XVI arrondissement.
Nikolai Alekseev du site d'information www.gayrussia.ru à réussit a interroger un collaborateur de Maha Magazine, publication gay semi-clandestine en langue persane diffusée par e-mail : "Alors gardez un oeil sur l'Iran, et continuez à exiger une meilleure vie et le respect pour les Iraniens LGBT. Votre soutien nous est précieux et nous fournit de l'énergie et du courage..."
Une pétition est ouverte sur le site :
www.abolition.fr
Par la présente, j'affirme ma solidarité et mon soutien aux homosexuels et autres membres de minorités sexuelles qui sont arrêtés, emprisonnés voire condamnés à mort et exécutés dans le monde.
Iran, Arabie Saoudite, Afghanistan, Mauritanie, Soudan, Nigeria (États du nord), Yémen, Pakistan, Émirats Arabes Unis, dans ces 9 pays, les homosexuels encourent la peine de mort du seul motif de leur homosexualité.
Cela ne peut plus durer! Affirmer et vivre librement son orientation sexuelle n'est pas un crime et ne devrait nullement avoir sa place dans un code pénal.
Au nom de la liberté et des droits humains les plus élémentaires, valables pour toutes les femmes et tous les hommes, je demande à la communauté internationale d'agir avec la plus grande vigueur pour que les derniers pays qui prévoient ainsi la peine de mort réforment leur code pénal et, dans cette attente, commuent les condamnations à mort
et libèrent les prévenus arrêtés parce qu'ils sont homosexuels.
Le 19 juillet 2005, deux adolescents ont été pendus sur une place publique d'Edalat dans la ville de Mashhad au nord-est de l'Iran.
Les motifs ne sont pas clairs, certaines versions font référence au viol d'un troisième garçon âgé de 13 ans, d'autres parlent de condamnation pour "sodomie".
Retenons que depuis 1979 plus de 4000 gays et lesbiennes ont été condamnés en Iran et qu'actuellement 2 homos d'une vingtaine d'années sont semble t-il en train de subir le même sort.
Act Up-Paris a ciblé pour la première fois ce pays dans le cadre d'une action express, une banderole avec le mot "homophobe" a été déployée devant l'ambassade d'Iran rue d'Iéna à Paris dans le XVI arrondissement.
Nikolai Alekseev du site d'information www.gayrussia.ru à réussit a interroger un collaborateur de Maha Magazine, publication gay semi-clandestine en langue persane diffusée par e-mail : "Alors gardez un oeil sur l'Iran, et continuez à exiger une meilleure vie et le respect pour les Iraniens LGBT. Votre soutien nous est précieux et nous fournit de l'énergie et du courage..."
Une pétition est ouverte sur le site :
www.abolition.fr
Par la présente, j'affirme ma solidarité et mon soutien aux homosexuels et autres membres de minorités sexuelles qui sont arrêtés, emprisonnés voire condamnés à mort et exécutés dans le monde.
Iran, Arabie Saoudite, Afghanistan, Mauritanie, Soudan, Nigeria (États du nord), Yémen, Pakistan, Émirats Arabes Unis, dans ces 9 pays, les homosexuels encourent la peine de mort du seul motif de leur homosexualité.
Cela ne peut plus durer! Affirmer et vivre librement son orientation sexuelle n'est pas un crime et ne devrait nullement avoir sa place dans un code pénal.
Au nom de la liberté et des droits humains les plus élémentaires, valables pour toutes les femmes et tous les hommes, je demande à la communauté internationale d'agir avec la plus grande vigueur pour que les derniers pays qui prévoient ainsi la peine de mort réforment leur code pénal et, dans cette attente, commuent les condamnations à mort
et libèrent les prévenus arrêtés parce qu'ils sont homosexuels.
