Télévision

Mercredi 14 Mars à 22h40
LA HAINE.COM OU DERIVE SUR LE NET
Les groupes extrémistes répandent leurs discours violents et haineux dans le monde entier sur Internet, formidable outil de propagande pour attirer de nouvelles recrues. Nominés deux fois aux Oscars dans la catégorie Meilleur documentaire (en 1992 pour DEATH ON A JOB et en 1994 pour BLUE HIGHWAYS) pour leur travail commun, Vince DiPersio et Bill Guttentag dressent un état des lieux édifiant.
Plus de 140 millions de personnes au monde surfent sur le réseau Internet.
Pour les extrémistes de tous poils, l'avènement du Web a offert un moyen unique, très efficace et peu coûteux, de propager des idées racistes, homophobes ou sexistes, de recruter parmi une population jeune, qui a l'habitude de surfer sur la toile... voire de préparer des actes concertés.
A partir de 1999, le nombre de sites haineux a explosé. Les États-Unis offrent une situation particulièrement favorable aux groupes extrémistes car le premier amendement de la Constitution garantit à tous le droit à la liberté d'expression, pour le meilleur et pour le pire. On a même pu retrouver sur Internet les mécanismes du type de bombe responsable de l'attentat d'Oklahoma City.
Morris Dee, fondateur et directeur du Southern Poverty Law Center, un organisme très actif dans la lutte contre le racisme et l'antisémitisme en Amérique du Nord, nous éclaire de ses commentaires.
Les documentaristes donnent la parole aux fondateurs des groupes extrémistes qui disposent des sites les plus efficaces et les plus consultés sur Internet. Don Black (Stormfront), Richard Butler (Aryan Nations et Christian Identity), Dr William Pierce (National Alliance) exposent leurs doctrine, tactiques et buts recherchés.
Le cas de " loups solitaires " du web, des individus qui ont incité les internautes à la violence comme Timothy McVeigh, principal auteur de l'attentat d'Oklahoma City, sera également évoqué.
www.planete.tm.fr
LA HAINE.COM OU DERIVE SUR LE NET
Les groupes extrémistes répandent leurs discours violents et haineux dans le monde entier sur Internet, formidable outil de propagande pour attirer de nouvelles recrues. Nominés deux fois aux Oscars dans la catégorie Meilleur documentaire (en 1992 pour DEATH ON A JOB et en 1994 pour BLUE HIGHWAYS) pour leur travail commun, Vince DiPersio et Bill Guttentag dressent un état des lieux édifiant.
Plus de 140 millions de personnes au monde surfent sur le réseau Internet.
Pour les extrémistes de tous poils, l'avènement du Web a offert un moyen unique, très efficace et peu coûteux, de propager des idées racistes, homophobes ou sexistes, de recruter parmi une population jeune, qui a l'habitude de surfer sur la toile... voire de préparer des actes concertés.
A partir de 1999, le nombre de sites haineux a explosé. Les États-Unis offrent une situation particulièrement favorable aux groupes extrémistes car le premier amendement de la Constitution garantit à tous le droit à la liberté d'expression, pour le meilleur et pour le pire. On a même pu retrouver sur Internet les mécanismes du type de bombe responsable de l'attentat d'Oklahoma City.
Morris Dee, fondateur et directeur du Southern Poverty Law Center, un organisme très actif dans la lutte contre le racisme et l'antisémitisme en Amérique du Nord, nous éclaire de ses commentaires.
Les documentaristes donnent la parole aux fondateurs des groupes extrémistes qui disposent des sites les plus efficaces et les plus consultés sur Internet. Don Black (Stormfront), Richard Butler (Aryan Nations et Christian Identity), Dr William Pierce (National Alliance) exposent leurs doctrine, tactiques et buts recherchés.
Le cas de " loups solitaires " du web, des individus qui ont incité les internautes à la violence comme Timothy McVeigh, principal auteur de l'attentat d'Oklahoma City, sera également évoqué.
www.planete.tm.fr